dimanche 20 février 2011

Conclusion.

Durant le travail que nous avons pu effectué pour produire notre TPE, nous avons pu en savoir plus sur les relations entre les jeunes de banlieue et la police et s’il était possible ou non de les réconcilier.

    En effet, un rapport de force s’est effectué entre les jeunes et la police, mettant une barrière entre eux, mais surtout empêchant d’assurer la sécurité dont la police doit faire preuve pour le bien de notre société. Les jeunes de banlieues se sentent mis de coté et oppressés par la police. Ces jeunes, persécutés, ne ressentent donc pas l’envie de s’intégrer à la population, et stigmatisent fièrement leurs origines. Leurs seules moyen de montrer qu’ils existent sont donc la provocation, en particulier avec les forces de l’ordre. Les policiers, de leurs cotés, sont mal formés pour gérer ce genre de cas, ce qui rend d’autant plus difficile d’entretenir un dialogue et une bonne entente entre les deux camps.
Pourtant, instaurer le dialogue entre la police et les jeunes seraient une solution à prendre en compte afin de rapprocher les deux camps. La mise en place à nouveau d’une police de proximité pourrait éviter aux jeunes de se braquer, en les mettant en confiance. Néanmoins, il restera toujours des a priori l’un envers l’autre et ce genre de stratégies pour réunir enfin la police et les jeunes ne se feront pas en un jour, si ce n’est jamais : les préjugés sont maintenant bien trop encrés. L’idée de police de proximité reste quant à elle utopique. Un manque évident d’effectif et de répartitions de cette police est à prendre en considération.
Maintenant, il est tout de même toujours possible non pas de réconcilier la police et les jeunes, mais de rendre les relations moins tendus en revoyant la formation des policiers, et en trouvant des emplois pour les jeunes de cités, mis de coté par le monde du travail.

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